Divers

l’Arbresle prend de la hauteur

Résumé

Après la guerre et plus récemment

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 La photo du haut présente une vue générale de l’Arbresle en 1946. La ville comptait à l’époque 2959 habitants et 49 exploitations agricoles. La photo du bas, présente une vue en 1999. Il y a cinq ans, l’Arbresle comptait alors 5975 habitants, une population qui a donc plus que doublé en un peu plus d’un demi siècle , et les exploitations agricoles ou assimilées se comptent sur les doigts d’une main !

Les quatre pages suivantes détaillent le quart de chacune de ces photos en partant du quart sud-ouest et en continuant dans le sens des aiguilles d’une montre.

Seuls les plus anciens s’y retrouveront sur les photos de 1946, mais les Arbreslois de plus fraîche date, pourront tenter de s’y retrouver !

 

Le Sud-ouest de l’Arbresle et le village d’Eveux

 1946 

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Une partie de la gare de marchandises (en haut à droite)

Au milieu à droite, la « montée » d’Eveux très visible.

La ligne droite menant au village d’Eveux passe, au centre, entre des champs cultivés et des prés jusqu’au hameau des Rompières

En haut au centre, c’est la campagne avec la ferme du clos Michel ; sur toute la partie gauche c’est la campagne.

 

 1999

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 En haut à droite, toujours la gare. L’ancienne montée d’Eveux disparaît sous les frondaisons, mais la nouvelle route venant de la zone des Martinets rejoint la ligne droite qui accède à Eveux

Cette ligne droite menant au centre d’Eveux est maintenant bordée de maisons à gauche sur la photo et de lotissements importants sur la gauche de la route, (à droite sur la photo).

En haut, au centre, les bâtiments de la ferme sont toujours là, mais au-dessus la nouvelle route  est là qui, partie de la zone des Martinets et de la rue Claude Terrasse, zigzague vers Eveux et à la gare de l’Arbresle.

 La nouvelle route à considérablement amélioré la liaison entre la zone des Martinets et Eveux et, au-delà, entre la RB 89 et la D 7 pour accéder à Lyon sans passer par l’Arbresle

  

Nord-ouest – La rue Gabriel Péri et les Vernays

 1946

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 Partie droite : La RN 89, rue Gabriel Péri avec en parallèle la rue des Vernays qui se termine en cul de sac. C’est la «fin» de l’Arbresle, avec les deux usines importantes du quartier : l’usine Charlet (teinture) et l’usine Roche (tissage) puis la campagne.

On devine la Brévenne avec ses rideaux d’arbres et la ligne de chemin de fer Lyon-Saint Paul/Montbrison et au premier plan le plateau de Louhans avec quelques fermes et des terres agricoles cultivées, vignes et prairies puis, entre la route de Sain-Bel et la Brévenne, deux jardiniers, Ferrière et Vial dont les terrains étaient séparés par le pré des eaux (station de pompage, qui alimentait l’Arbresle en eau potable, pré bien visible par le quadrillage des arbres).

Partie Gauche : En bordure de la route de Sain-Bel, en haut, le terrain de football de la Tuilière, surplombé par le bois du Pendu, duquel descend un petit chemin jusqu’à la maison blanche.

 

1999 

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La rue Gabriel Péri s’est peuplée, surtout en face des usines (lotissements, maisons individuelles, immeubles). La rue des Vernays (immeubles, maisons individuelles) en a fait de même. Dénommée alors rue Claude Terrasse, elle est prolongée jusqu’au rond-point de la Libération (route de Sain-Bel). Les deux usines, toujours là, ont changé d’activité et de propriétaire.

De part et d’autre de la rue ainsi prolongée, une petite zone industrielle, très active, la zone des Martinets.

Un pont franchit la Brévenne et permet, par la nouvelle route, de relier directement Eveux, et de redescendre sur la gare de l’Arbresle. Au 1er plan le plateau de Louhans a été complètement urbanisé (nombreux lotissements). Seuls subsistent encore les terrains horticoles de la maison Ferrière.

Le terrain de la Tuilière a laissé la place à une grande surface commerciale (les deux rectangles blancs à gauche en bas), et encore plus à gauche on remarque le giratoire de la Libération ; la maison blanche a disparu et le bois du Pendu a été réduit, du fait de la construction de la route descendant de la zone de la Ponchonnière.

En bas à droite on remarque les bâtiments du collège des Quatre Vents au bord de la rue du 11 novembre, cerné par les maisons et les lotissements. Cette rue du 11 novembre part vers la gauche en montant et rejoint la route de Louhans ; ce croisement sera très bientôt transformé en giratoire puisque les travaux ont commencé début janvier.

A mi-hauteur, à droite, en forme de V blanc les bâtiments d’E.D.F.

En haut, à gauche le début de la zone de la Ponchonnière, en triangle à partir du giratoire marquant le bout de la route de Louhans et de la rue Baccot.

Enfin, dans le coin en bas à droite on distingue les différents bâtiments de la gendarmerie.

  

Nord-est – Turdine – Nationale 7 vers Tarare

 1946     

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En bas, à droite la route de Paris, bordée d’habitations, puis l’usine de tissages Grillet, longée de terrains agricoles de part et d’autre.

A la sortie de l’Arbresle, le stade de la Baryte où l’on devine le terrain de football, et les vestiaires et l’anneau de la piste en cendrée

Au centre, les plateaux de la Berthode et de Louhans avec quelques fermes

Au centre, légèrement sur la droite, on distingue la sortie du tunnel de la ligne de chemin de fer Lyon-Roanne, surplombant la vallée de la Turdine

En dessous une partie de la route de Sain-Bel, dans l’angle

En haut à gauche, l’ancien couvent des Ursulines, bordé par le chemin de Savigny qui passe près du hameau du Champ d’Asile (institution pour la protection de l’enfance).

 

1999

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 Au centre, l’ancienne usine Grillet à disparu, remplacée par une station-service

En bas à droite, l’avenue de la Paix, en lacets qui dessert le Chambard, les HLM, le hameau En Rapinant et va rejoindre la montée de Saint-Germain

En haut au centre, le vieux stade de la Baryte a fait place au stade municipal et l’on voit distinctement les différents terrains de football et en dessous, la salle Claude Terrasse qui a remplacé l’ancien vestiaire

Toute la partie gauche à été urbanisée ; on remarque en bas les groupes scolaires (surtout le lycée professionnel), le hameau de la Berthode, desservi par la rue des Quatre Vents, coincé entre l’avenue Lassagne et la rue Jean Moulin

En haut à gauche, le V formé par la Rue Baccot et l’avenue du Champ d’Asile bordée à droite par les hameaux du Groslier.

Dans le V en dessous et légèrement décalé à droite, les bâtiments de la gendarmerie. Juste au-dessus de ces bâtiments, un pré, qui est maintenant en fin de construction; il est désormais occupé par des logements pour les gendarmes.

Le coin en bas à droite nous fait découvrir les virages de l’avenue de la Paix qui va desservir les immeubles H.L.M., les lotissements d’En Rapinant, avant de rejoindre la route de Saint-Germain.

En haut à droite, les taillis en pente sur plombant la RN 7, et dominés par le plateau des Mollières.

 Sur ce chantier, les maisons destinées à loger des gendarmes sont en cours de fin d’aménagement

  

Sud-est – Le village – La route de Lyon – Les voies de chemins de fer

1946

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En bas, à l’angle de deux chemins deux bâtiment de ferme, isolés à cette époque. Vers la droite, en dessous de la ligne sombre de la rivière (rive droite), les bâtiments de la teinturerie Martinon. Au-dessus (rive gauche de la Brévenne) l’ancienne rue de la République, qui partait du pont Sapéon et rejoignait la route de Lozanne. Le long, quelques maisons et l’abattoir.

Au-dessus encore, le chemin de la Palma; peu de constructions; beaucoup de terrains agricoles et des vignes.

Au centre, vers la gauche, la boucle de la rue de Lyon, avec l’usine à gaz de l’Energie Industrielle, et le grand bâtiment de l’usine de Tissage (N.S.T.M.), que l’on retrouve en bas, devenue maintenant un garage à camions.

Plus à gauche et un peu plus haut, l’avenue de la Gare se termine par le passage à niveau ; à son début, près du pont de la Brévenne, la gendarmerie.

On distingue nettement, à l’autre extrémité les deux voies ferrées, l’une partant vers Roanne (vers le haut), l’autre continuant vers Sain-Bel (vers la gauche).

 

1999

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En bas, légèrement sur la gauche, la ferme est toujours là, mais on voit également les bâtiments d’un marbrier. Au-dessus, la colline boisée qui sépare Eveux de l’Arbresle.

Légèrement sur la droite, on distingue nettement le rond-point du Martinon (1979).

Partant du  giratoire, montant tout droit, la nouvelle déviation de la RN 7, construite au début des années 1980, aboutit au carrefour du Cheval Blanc.

A gauche, avant le carrefour (tâche blanche), la place Sapéon a remplacé le quartier Sapéon, démoli dans les années 60.

Le bourg est séparé en deux : à gauche, le centre-ville ; à droite de la photo, de nouvelles constructions (lotissement des Vignes, La Palma).

En repartant du giratoire, vers la droite, la route de Lozanne contourne les terrains de l’ancienne usine ; ils sont désormais occupés par une grande surface et une zone artisanale et commerciale.

Au centre côté gauche, on distingue l’avenue de la Gare, avec, formant un angle avec la rue de Lyon les bâtiments de la résidence de la Madeleine. Au bout de la rue à gauche, le passage à niveau à disparu (1997), remplacé par un passage souterrain.

En haut de la photo, au-dessus de la rue Charles de Gaulle, on voit la place de la République avec, à droite le bâtiment de la Poste. Les cafés ont laissé la  place aux banques.

Légèrement à gauche, dans l’angle ouvert entre la rue de Gaulle et la route de Sain-Bel., La mairie a été restaurée : la place Pierre-Marie Durand et les écoles ont remplacé les jardins ouvriers. 

""Le quartier Sapéon, avant sa démolition au cours des année 60 et sa transformation en parking.

 

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